Une étude récente a montré que la présence d’écrevisses invasives diminue le rythme de recyclage des litières reçues pendant une année de 40 jours par rapport aux plans d’eau peu ou pas envahis, pouvant ainsi affecter fortement leur dynamique écologique.
Ces litières servent notamment d’habitat et de refuge contre les prédateurs à de nombreux organismes et constituent également une source importante de carbone et de nutriments qui seront libérés dans l’écosystème sous forme dissoute.
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