Objet : [Rappel] Fête des mares du 1er au 9 juin 2024
La Fête des mares, c’est un événement annuel qui organise des animations sur la thématique des mares et des zones humides sur l’ensemble du territoire français : sorties nature, ateliers pédagogiques, chantiers participatifs, conférences-débats, etc. Pour faire simple : tous les amoureux de la Nature peuvent contribuer à cet événement en organisant des animations !
La Fête des mares a lieu tous les ans la première semaine de juin. En 2024, pour sa neuvième édition : elle se déroule du 1er au 9 juin !
Ci-dessous retrouvez le kit de l’animateur ainsi que le kit de communication en tant qu’organisateur d’une manifestation :
L’extension de la réserve naturelle nationale du Rocher de la Jaquette a été validée par décret le 3 juillet 2020 suite à une enquête publique qui s’est déroulée en 2019 et où aucune opposition au projet n’a été soulevée.
Les fortes crues de ce week-end, en plus des dégâts visibles, pourraient, selon la Fédération de pêche de Haute-Loire, avoir une incidence fâcheuse sur les pontes des truites et des saumons.
"Directeur de recherche au CNRS et résident à Mozac, Christian Amblard affirme que nous vivons actuellement la sixième grande extinction des espèces. Il sera en conférence dans sa commune ce vendredi 25 octobre.
Si elle a mis de nombreuses décennies à être médiatisée, l’urgence écologique et climatique est désormais sur toutes les lèvres. "
"Le réseau Natura 2000, constitué d’un ensemble de sites naturels, terrestres et marins, vise à assurer la survie à long terme des espèces et des habitats particulièrement menacés, à forts enjeux de conservation en Europe. L’objectif de la démarche européenne, fondée sur les directives Oiseaux et Habitats faune flore, est double : la préservation de la diversité biologique et du patrimoine naturel, la prise en compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales. La région Auvergne-Rhône-Alpes comprend 260 sites. L’ensemble couvre une superficie 938 450 ha, soit 13,3 % de la région."
"Écouter le brame du cerf en forêt c’est bien. Mais dans le respect de certaines règles de sécurité et de bon sens c’est mieux, comme le rappelle l’Office national des forêts."
"En obtenant le label de réserve naturelle régionale, les tourbières du Jolan et de la Gazelle, dans le Cantal, entrent dans le cercle fermé des sites classés en Auvergne-Rhône-Alpes.
Grande première. La réserve naturelle régionale des tourbières du Jolan et de la Gazelle est la première et la seule du département du Cantal, qui ne compte pas non plus de réserve naturelle nationale."
"Parmi les sites remarquables du Cantal, la Tourbière d’Entremont, qui offre des atouts incontestables et abrite un écosystème inattendu... comme des plantes carnivores !"
"La campagne de marquage s’est étendue du 3 mars (date du premier saumon marqué) au 29 mai (date du dernier saumon marqué) totalisant 24 saumons équipés d’émetteurs durant cette période. Les températures caniculaires de ce dernier mois ont mis rapidement fin à la migration printanière des saumons qui marquent alors leur arrêt estival."
"Cette année de nombreux agriculteurs ont démarré leur moisson au début du mois de juillet. Un danger pour les Busards cendré dont les nichées se trouvent à même les champs. La LPO appelle à la vigilance les agriculteurs. L'association a déjà sauvé près de 70 nichées depuis le début de l'été."
"Dans la nuit du samedi 13 juillet, une brebis aurait été tuée par un loup au-dessus de la station du Lioran, dans le Cantal. Depuis, les éleveurs doivent s'adapter en pleine période d’estive."
Le 16 juillet est la journée internationale du serpent !
A cette occasion, nous souhaitons communiquer sur cet animal qui, dans l’esprit humain, a mauvaise presse.
À la vue d’un serpent, la réaction de l’Homme est généralement la peur. Pour autant, si leur présence est source d’inquiétude, elle relève d’une bonne santé du biotope. En effet, l’Homme a tendance à oublier l’utilité de la chaine alimentaire.
Les serpents se nourrissent de petits animaux dont de nombreux rongeurs, ravageurs des cultures et sont eux-mêmes chassés par d’autres carnivores (renards, hérissons, rapaces…) créant ainsi un équilibre naturel de l’écosystème. Ce sont des reptiles carnivores et sans pattes. Il en existe environ 2700 espèces dans le monde, dont seulement 400 sont venimeuses.
Les reptiles actuels sont représentés par les crocodiliens (alligators, caïmans, crocodiles), testudines (tortues), rhynchocéphales (sphénodons) et squamates (lézards, serpent). Ce sont des animaux vertébrés, recouverts d’écailles qui présentent la particularité d’être ectothermes. Autrement dit ils sont caractérisés par une température du corps qui varie en fonction de la température extérieure, appelé souvent de manière erronée « sang froid ». La thermorégulation des serpents dépend du lieu où ils vivent. Dans les régions chaudes, la température est assez stable, et les serpents ont donc rarement besoin de prendre un bain de soleil. Dans les endroits froids, ils doivent souvent changer de position.
Sur le territoire auvergnat, parmi les 17 espèces de reptiles recensés, il est dénombré 8 espèces de serpents (2 vipères et 6 couleuvres). En plus des serpents sont présentes 6 espèces de lézards, 2 de tortues et une espèce de gecko, constaté à Clermont-Ferrand pour la première fois en octobre 2017. De manière générale il existe en France 12 espèces (8 de couleuvres et 4 de vipères)
C’est dans un contexte de protection de la faune que l’Observatoire des Reptiles d’Auvergne s’est créé en 2015. Il s’agit d’une association présente sur le territoire auvergnat, qui a pour vocation de sensibiliser le grand public et de redorer l’image des reptiles, souffrant d’une mauvaise réputation. Elle a également une mission d’information : recenser l’évolution des populations reptiliennes à travers un projet participatif d’un atlas régional.
Que faire cet été si on croise un serpent ?
Tout d’abord sachez que les serpents sont protégés en France par unArrêté du 19 novembre 2007. Leur destruction, mutilation ou déplacement sont interdis. Le risque encouru est de 150 000€ d’amende et deux ans d’emprisonnement article L415-3 du Code de l’Environnement.
Si vous tombez nez à nez, relativisez ! Dans toute l’Europe il y a seulement une quinzaine de morts par morsure de vipère par an. Les vipères causent moins de dégâts que les morsures de chiens, piqures d’abeilles ou de guêpes. Les vipères utilisent leurs venins pour chasser et lorsqu’elles se sentent en danger, de plus 80% des morsures sont sans venin. Quant à la morsure de couleuvre, celle-ci est inoffensive. Dans tous les cas, suite à une morsure de vipère appelez le SAMU (15) et n’essayez pas de retirer le venin ou de poser un garrot.
"L'Apollon arverne du Sancy est bien une sous-espèce dont le patrimoine génétique diffère de toutes les populations connues ailleurs. L'étude génétique confirme ainsi la rareté et la menace qui pèse sur ce papillon emblématique du Parc des volcans d'Auvergne.
Une étude génétique vient de montrer que les populations d’Apollon arverne (Parnassius apollo arvernensis), papillon de jour emblématique des sommets du Sancy et du Parc des volcans d’Auvergne, se sont différenciées génétiquement de celles des Alpes il y a environ 6.500 ans."